Formule 1 GP de Grande-Bretagne : Hamilton gagne avec un pneu crevé. Verstappen fini 2ème et Leclerc monte sur le podium. L’anglais de Mercedes domine mais à passé la ligne d’arrivée sur trois roues comme Jim Clark en 1967. Bottas s’effondre à deux tours de la fin et Vettel fini 10ème de la course.
Lewis Hamilton remporte le GP britannique malgré une grande frayeur. Après avoir dominé largement la course, la Mercedes du pilote anglais a perdu son pneu avant gauche lors du dernier tour. Malgré tout, Hamilton à terminé la course en tête sur trois roues grâce à l’énorme avantage qu’il avait accumulé. Pour fêter la victoire avec lui, il y avait Gilles Pironi, ingénieur en charge de la fiabilité : il était le fils du légendaire Didier, ancien pilote de Ferrari, mort dans un tragique accident de bateau à moteur. Il s’agit de la 87ème victoire du pilote qui n’est plus qu’à quatre victoire du record de Michael Schumacher.
Ordre d’arrivée et classement
Ferrari est de retour sur le podium et c’est un résultat inattendu compte tenu de la façon dont les choses se passaient. Charles Leclerc a été parfait pour gérer une voiture difficile et profiter des ennuis des autres : il a gardé la quatrième place au départ en tenant les McLaren à distance, car la Red Bull de Verstappen devant était imprenable. Dixième, Sebastian Vettel a rencontré de nombreuses difficultés pendant le week-end, sans que ce soit sa faute, mais en course il s’est retrouvé embourbé dans en queue de peloton et longtemps hors de la zone des points.
En parlant de problèmes, ceux de Bottas, qui a perdu la deuxième place à cause d’un pneu endommagé tout comme son partenaire. En fin de compte, Bottas avait averti par radio des vibrations excessives, mais l’avertissement a été ignoré. L’équipe n’avait aucune explication pour la double défaillance, les hypothèses étaient l’usure ou les crevaisons causées par des débris éparpillés sur la piste par d’autres voitures.
Quant à Max Verstappen, il remporte une deuxième place qui vaut de l’or. Le Néerlandais aurait également pu triompher s’il ne s’était pas arrêté dans les stands pour son problème de pneus. Au lieu de cela, les stratégistes ont opté pour un arrêt prudent et pour ramener le point du tour le plus rapide.
A noter, le retour malchanceux de Nico Hulkenberg à la place de Sergio Perez, positif pour le coronavirus : l’Allemand n’est même pas parti pour un problème avec l’unité de puissance de la Racing Point avant le tour de formation.