L’autopartage séduit de plus en plus les Français
L’autopartage, une nouvelle façon de se déplacer au quotidien
Souvent confondu avec le covoiturage, l’autopartage est un mode de transport mutualisé basé sur le libre-service. L’idée est de proposer via une application mobile la location courte durée de véhicules à des emplacements stratégiques (centre-ville, gare, aéroport, etc.). Ainsi, n’importe qui ayant besoin d’un véhicule à un moment précis et pour une durée courte, voire très courte dans certains cas, peut réserver le véhicule en quelques minutes et l’utiliser d’un point A à un point B.
Sur le plan écologique, l’autopartage ne semble offrir que des avantages. En effet, chaque véhicule en libre-service remplace entre 8 et 20 véhicules individuels. En plus d’être une excellente alternative écologique, l’autopartage permet de désengorger les routes et donc, in fine, de réduire les embouteillages mais également les émissions de CO2.
De plus, les adeptes de l’autopartage couplent généralement ce moyen de transport à d’autres (trottinette, vélo, marche, transports en commun, etc.) afin d’effectuer le moins de kilomètres possible en voiture.
1 jeune sur 2 est prêt à utiliser l’autopartage
Le secteur automobile connaît depuis maintenant plusieurs années une véritable rupture. A l’ère des smartphones et des applications mobiles, la dernière tendance est l’autopartage. Les jeunes sont férus de cette nouveauté qui, comme pour commander un Uber, se fait en quelques clics.
Aujourd’hui, 14% des Français se disent prêts à troquer la voiture pour un autre moyen de transport. Pour les 25-34 ans, ce pourcentage passe même à 24%.
Loc Eco, réseaux d’agences de location voiture discount à Nantes, est à l’initiative du réseau d’autopartage marguerite à Nantes, indique qu’il existe en effet plusieurs raisons à cet engouement :
- Coût de possession d’un véhicule en constante augmentation (entretien, carburant, assurance, etc.)
- Volonté de préférer les modes de transport plus écologiques
- Propriété du véhicule non-prioritaire (besoins seulement ponctuels), ce qui permet d’allouer ses ressources financières à d’autres projets, surtout quand on sait que les véhicules sont, dans 95% du temps, garés et que les voitures pèsent toujours plus lourds et sont donc toujours plus chers
- Places de stationnement souvent dédiées à ces véhicules, ce qui facilite le stationnement en ville notamment
Selon certaines études, 50% des jeunes seraient prêts à utiliser une solution d’autopartage. Pour les attirer, les offres d’autopartage devront toutefois allier free-floating, flexibilité, variété des véhicules disponibles et prix attractifs. Les marques nationales attirent aussi cette jeune clientèle avec des offres de location Jeune Conducteur sur présentation de la carte étudiante.
Davantage de Français s’intéressent à l’autopartage si des aides financières sont proposées À l’heure actuelle, 20% des Français ont accès à un service d’autopartage en libre-service. Une minorité quand 49% de la population se dit prête à utiliser cette nouvelle mobilité en contrepartie d’une aide financière.
Une aide financière qui pourrait être délivrée par le gouvernement ou les entreprises afin d’encourager l’usage de mobilité plus respectueuse de l’environnement.
Chez les jeunes, le désir d’une aide financière s’avère d’ailleurs plus vif puisqu’ils sont 69% à en éprouver le besoin pour franchir le cap.
L’autopartage représente un mode de transport d’avenir. S’il serait plus présent et de façon plus homogène sur le territoire, il pourrait encourager encore plus de personnes à se séparer de leur véhicule personnel ou, à minima, moins l’utiliser au quotidien.
Il s’agit également d’une excellente alternative aux transports en commun pour les habitants de communes rurales qui sont mal desservis.
Toutefois, pour inclure également les personnes n’étant pas titulaires du permis de conduire, il serait également préférable que cette solution soit complétée par la mise à disposition de véhicules sans permis en libre-service.
Pour rester dans une démarche écologique et se conformer aux demandes du gouvernement concernant l’usage de véhicules à faibles émissions, il serait aussi pertinent d’inclure une majorité de véhicules électrifiés dans ces flottes en free-floating.
Ainsi, la démarche serait inclusive tout en étant écologique.
L’autopartage séduit de plus en plus les Français
L’autopartage, une nouvelle façon de se déplacer au quotidien
Souvent confondu avec le covoiturage, l’autopartage est un mode de transport mutualisé basé sur le libre-service. L’idée est de proposer via une application mobile la location courte durée de véhicules à des emplacements stratégiques (centre-ville, gare, aéroport, etc.). Ainsi, n’importe qui ayant besoin d’un véhicule à un moment précis et pour une durée courte, voire très courte dans certains cas, peut réserver le véhicule en quelques minutes et l’utiliser d’un point A à un point B.
Sur le plan écologique, l’autopartage ne semble offrir que des avantages. En effet, chaque véhicule en libre-service remplace entre 8 et 20 véhicules individuels. En plus d’être une excellente alternative écologique, l’autopartage permet de désengorger les routes et donc, in fine, de réduire les embouteillages mais également les émissions de CO2.
De plus, les adeptes de l’autopartage couplent généralement ce moyen de transport à d’autres (trottinette, vélo, marche, transports en commun, etc.) afin d’effectuer le moins de kilomètres possible en voiture.
1 jeune sur 2 est prêt à utiliser l’autopartage
Le secteur automobile connaît depuis maintenant plusieurs années une véritable rupture. A l’ère des smartphones et des applications mobiles, la dernière tendance est l’autopartage. Les jeunes sont férus de cette nouveauté qui, comme pour commander un Uber, se fait en quelques clics.
Aujourd’hui, 14% des Français se disent prêts à troquer la voiture pour un autre moyen de transport. Pour les 25-34 ans, ce pourcentage passe même à 24%.
Loc Eco, réseaux d’agences de location voiture discount à Nantes, est à l’initiative du réseau d’autopartage marguerite à Nantes, indique qu’il existe en effet plusieurs raisons à cet engouement :
- Coût de possession d’un véhicule en constante augmentation (entretien, carburant, assurance, etc.)
- Volonté de préférer les modes de transport plus écologiques
- Propriété du véhicule non-prioritaire (besoins seulement ponctuels), ce qui permet d’allouer ses ressources financières à d’autres projets, surtout quand on sait que les véhicules sont, dans 95% du temps, garés et que les voitures pèsent toujours plus lourds et sont donc toujours plus chers
- Places de stationnement souvent dédiées à ces véhicules, ce qui facilite le stationnement en ville notamment
Selon certaines études, 50% des jeunes seraient prêts à utiliser une solution d’autopartage. Pour les attirer, les offres d’autopartage devront toutefois allier free-floating, flexibilité, variété des véhicules disponibles et prix attractifs. Les marques nationales attirent aussi cette jeune clientèle avec des offres de location Jeune Conducteur sur présentation de la carte étudiante.
Davantage de Français s’intéressent à l’autopartage si des aides financières sont proposées À l’heure actuelle, 20% des Français ont accès à un service d’autopartage en libre-service. Une minorité quand 49% de la population se dit prête à utiliser cette nouvelle mobilité en contrepartie d’une aide financière.
Une aide financière qui pourrait être délivrée par le gouvernement ou les entreprises afin d’encourager l’usage de mobilité plus respectueuse de l’environnement.
Chez les jeunes, le désir d’une aide financière s’avère d’ailleurs plus vif puisqu’ils sont 69% à en éprouver le besoin pour franchir le cap.
L’autopartage représente un mode de transport d’avenir. S’il serait plus présent et de façon plus homogène sur le territoire, il pourrait encourager encore plus de personnes à se séparer de leur véhicule personnel ou, à minima, moins l’utiliser au quotidien.
Il s’agit également d’une excellente alternative aux transports en commun pour les habitants de communes rurales qui sont mal desservis.
Toutefois, pour inclure également les personnes n’étant pas titulaires du permis de conduire, il serait également préférable que cette solution soit complétée par la mise à disposition de véhicules sans permis en libre-service.
Pour rester dans une démarche écologique et se conformer aux demandes du gouvernement concernant l’usage de véhicules à faibles émissions, il serait aussi pertinent d’inclure une majorité de véhicules électrifiés dans ces flottes en free-floating.
Ainsi, la démarche serait inclusive tout en étant écologique.