Les médecins prestigieux, le britannique Mike Yeadon et l’allemand Wolfgang Wodarg, ont demandé la suspension des études sur les vaccins contre le SRAS-CoV2. Ils l’ont fait en envoyant une demande formelle à l’Agence européenne des médicaments et ont joint une pétition pour que les citoyens européens puissent faire part de leurs préoccupations. Le communiqué à été publié dans le journal FranceSoir.
Le communiqué de presse du Dr Wodarg et de Mike Yeadon, ancien conseiller scientifique de PFIZER, annonce qu’ils ont soumis une demande à l’EMA (Agence européenne des médicaments) qui est responsable de l’approbation des médicaments dans toute l’UE. Le document demande la suspension immédiate de toutes les études sur le vaccin contre le SRAS-CoV-2, en particulier celui de BioNtech / Pfizer sur le BNT162b.
Les promoteurs de l’initiative demandent des réponses aux nombreuses questions sur la sécurité des vaccins exprimées par les citoyens ordinaires et les scientifiques. Les deux signataires se plaignent qu’en raison du « manque de précision du test PCR, le séquençage dit de Sanger est utilisé », car actuellement « il n’est pas possible de déterminer avec la certitude nécessaire ni le risque de la maladie ni un éventuel bénéfice du vaccin ».
Le Dr Wodarg s’étonne de l’empressement des politiciens
Sur son blog, Wodarg exprime son inquiétude quant à l’empressement des hommes politiques pour vacciner massivement la population :
Je rapporte cette nouvelle dans un souci d’exhaustivité et non d’inquiétude. Mais il est bon d’avoir les bonnes informations sur une question aussi sensible à un moment où les gouvernements sont très répressifs, idéologiques et peu fiables vis-à-vis du bien commun.
Personnellement, je ne suis pas contre les vaccins mais je me méfie lorsque certains politiciens qui n’ont pas de titre précis insistent trop sur le fait qu’il n’y a pas de problème.
Une autre préoccupation est de combiner la pandémie post-pandémique avec une sorte de renaissance planétaire, un « new deal » qui devrait être fait selon la volonté d’un cercle restreint de personnes sans entendre l’avis des communautés nationales, ce que je ne comprends pas.
La forte pression et l’ostracisme de chaque pensée différente, qualifiée de « négationniste », aggravent cette perception de la mienne. Bien entendu, dans la formation d’un « sentiment négatif », il ne faut pas négliger l’exclusion de la communauté scientifique dissidente de toute décision.